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Arts, spectacles et rencontres culturelles : du nouveau à chaque escale.

La Gospel Africa House, créée à Champvoux en 2009
Amtha Kol dans son espace Gospel Africa House prête à recevoir Mgr l'Evêque.

La Gospel Africa House, établissement culturel créé en 2009 à Champvoux par Amtha Kol, s'apprête à recevoir Mgr Thierry Brac de la Perrière, Evêque de Nevers.

Amtha Kol dans son espace Gospel Africa House prête à recevoir Mgr l'Evêque.

La Gospel Africa House, établissement culturel créé en 2009 à Champvoux par Amtha Kol, s'apprête à recevoir Mgr Thierry Brac de la Perrière, Evêque de Nevers.

Avec simplicité et générosité, le dimanche 4 mai 2014 à 15h30

Comme le dit Jésus, parlant de lui-même dans l'évangile de Jean (10, v.14) « Le pasteur connaît ses brebis et ses brebis le connaissent ». Ainsi, à l’image du « Bon Berger, qui nous connaît et nous invite à connaître et reconnaître sa voix » (Jean 10, v.4-5), le Père Evêque Thierry Brac de la Perrière, par sa visite à la Gospel Africa House, annoncée pour le dimanche 4 mai 2014 à 15h30, nous démontre par cette attention empreinte de beaucoup de simplicité et de générosité, que ce qui est vrai à propos de Jésus dans cette parabole l’est également, avec ceux que Jésus envoie pour être pasteurs en son nom, notamment le pape, les évêques et les prêtres.

Une pastorale conduite pendant plus d’un an et demi à la rencontre des Nivernais

La Gospel Africa House
La Gospel Africa House créée par Amtha Kol à Champvoux en 2009.

Cette visite à la Gospel Africa House s’inscrit donc un peu, dans le prolongement d’une pastorale plus globale, conduite pendant plus d’un an et demi à la rencontre des Nivernais, c’est-à-dire, toutes les personnes qui, dans les groupements de paroisses et les communes, lui ont permis de découvrir de multiples aspects de l’Église dont il a la charge, mais aussi de la vie et des réalités humaines de la Nièvre.

Il s’agit, en particulier des prêtres et des laïcs qui l’ont reçu avec beaucoup de simplicité et d’enthousiasme, à travers le diocèse avec le triple but, pour le Père Evêque, de mieux connaître ses administrés, de les encourager et d’orienter aussi le chemin à suivre.

J’ai bien conscience que ces visites pastorales des groupements de paroisses ne sont pas suffisantes pour me donner une connaissance exhaustive du diocèse, et encore moins des réalités humaines de la Nièvre.

En outre, j’ai bien senti qu’à tel ou tel endroit le passage était bien trop rapide, et je comprends la déception de ceux qui auraient souhaité que je passe dans leur église, que je participe à telle activité, ou que je les rencontre personnellement.

De fait, ces visites n’étaient qu’un début, et je compte bien revenir au cours des prochaines années, si Dieu le veut.

Ces visites pastorales m’ont aidé à commencer à vous connaître et me faire connaître de vous, avec comme objectif de progresser ensemble dans la « vraie connaissance de Jésus Christ », telle que je l’ai évoquée dans ma Lettre de Carême 2012. »

Ecrit le Père Evêque Thierry Brac de la Perrière, dans sa Lettre pastorale aux catholiques de la Nièvre.

Vidéo de présentation du Diocèse de Nevers et de son père évêque (26 minutes)

Après une première série de visites pastorales depuis sa nomination en 2011, Mgr Brac de la Perrière évoque les réalités de l'Église catholique dans la Nièvre, difficultés et richesses. Dans un département rural confronté au manque d'emploi et à la précarité, les chrétiens sont engagés auprès des plus pauvres. La démarche Diaconia a encouragé les initiatives de partage de la Parole de Dieu. Reportage à Alligny-en-Morvan, où une fraternité accueille les personnes des "périphéries existentielles". Emission La Vie des Diocèses du 21/03/2014. Courtoisie de la chaîne de télévision catholique KTO. Entretien avec Etienne Loraillère,sur KTO.

Mgr Thierry Brac de la Perrière, pour la toute première fois à la Gospel Africa House

C’est la première visite de Monseigneur Thierry Brac de la Perrière à la Gospel Africa House depuis qu’il a été accueilli dans le diocèse, il y a un peu plus de deux ans et demi, comme Evêque de Nevers, succédant au père Francis Deniau qui vient de nous quitter, le 12 janvier 2014, rejoignant le Seigneur qu’il a servi et aimé.

Bénédiction de la Grotte Mariale par l'Evêque Francis Deniau entouré des Pères Maréchal et Hilary le 28 août 2009 à l'espace Gospel Africa House.
Bénédiction de la Grotte Mariale par Mgr l'Evêque Francis Deniau, entouré des Pères Maréchal et Hilary, le 28 août 2009, à l'espace Gospel Africa House.

C’est le père Francis Deniau, qui avait, quelques années auparavant, béni la Grotte Mariale installée dans l’espace de la Gospel Africa House et vivement encouragé Amtha Kol, à partager plus largement la passion de ses compositions originales de musique afro Gospel.

Le Gospel, chant religieux et expression du rythme

L’expression « Gospel », au-delà du genre musical, est un mot emprunté à la langue anglaise où il signifie « évangile ». Gospel vient lui-même du vieil anglais « Godspell » (appel de Dieu). Son histoire se trouve intimement liée à celle de son Afrique mère et à celle de l’esclavage transatlantique. Le Gospel est donc un chant religieux, un chant de révolte à ses débuts mais aussi et surtout, un chant d’espoir, et qui était originellement chanté par des chrétiens noirs, protestants. C’est un genre musical complexe. Il a subi plusieurs mutations au fil des siècles, en passant des hymnes Gospel à proprement parler, aux chants Gospel des années 1930. Le Gospel prend la suite logique de ce qui s’était appelé les « negro spirituals » dans l’histoire américaine d’origine africaine.

Les mutations portent à la fois, sur les instruments, qui sont de plus en plus présents dès les années 1870 à la célébration des offices religieux (harmoniums, orgues, divers instruments à cordes) mais aussi le corps humain considéré comme un instrument de musique à part entière (claquement des mains, subtils mouvements des pieds en rythme) ou balancements synchronisés du corps, qui sont également portés par le rythme, utilisés par ailleurs comme un excellent moyen de faire oublier ses petits rhumatismes ou douleurs musculaires en se dégourdissant, par la même occasion, les membres.

Il ne semble pas exagéré de souligner, une fois de plus ici, que ceci est un héritage direct de l’Afrique où la notion d’instrument de musique s’avère, sur bien des points, moins restrictive qu’ailleurs à travers le monde. Au Togo, au Bénin et dans d’autres pays du continent, ce n’est ni l’excellent batteur percussionniste Fôô Fanick Dr Drums qui animera plusieurs stages sur les danses et les rythmes africains, ni Stan Tohon et ses tambours d’eau du Bénin, artistes invités de la Caravane d’Afrique 2014, qui nous démentiraient sur le fait que les hommes ont depuis la nuit des temps, utilisé leur propre corps, par exemple la cage thoracique du chanteur ou du danseur, comme caisse de résonnance, qu’ils battent en rythme de façon spectaculaire comme des tambours Djembé, pour exprimer le rythme. Donc le chanteur ou le danseur peut devenir son propre instrument de musique. C'est le cas des claquements de mains en rythme ou des battements de pieds qui martèlent le sol pour exprimer la cadence.

Gospel ou Negro Spiritual ? Quelles différences ?

Dans l’un et dans l’autre cas, il s’agit de chants religieux, expression de la souffrance mais aussi de l’espoir des populations noires récemment libérées de l’esclavage, mais dans le gospel on a généralement plus d'instruments, comme évoqué, mais aussi le contenu diffère.

Le Gospel se réfère plus souvent aux Evangiles, c’est-à-dire à Jésus-Christ et aux apôtres, tandis que les negro spirituals évoqueraient plutôt des personnages de l'Ancien Testament (« Joshua Fit the Battle of Jerico » ou « Go Down Moses, » etc.). Le Gospel comporte des quartets vocaux et des chanteurs célèbres parfois en solo. C'est dans cette historicité et cette logique que s'inscrirait, d'une certaine façon, les séries de concert témoignage Gospel Tour 2014 en cours sur plusieurs paroisses du diocèse de Nevers.

A celui qui me souffle de bonnes idées et me donne la force d'avancer ; à mon Meilleur Ami, dit Amtha Kol. L'artiste sera en spectacle le dimanche 11 mai 2014 en l'Eglise Saint-Léger, Tannay (58190) pour un concert-témoignage de qualité.

Pour en savoir plus sur le Gospel Tour et les autres dates de la tournée, lire notre article : Gospel Tour 2014 : Amtha Kol entame sa tournée en l’église de Corbigny

Interview de Mgr Thierry Brac de la Perrière, évêque de Nevers par Amtha Kol

Cet entretien avec le Père Evêque de Nevers, Mgr Thierry Brac de la Perrière, a été réalisé par Amtha Kol, (Amina) et diffusé pour la première fois le 1er octobre 2013 sur radio RCF dans l’émission Caravane d’Afrique qu'elle anime.

"L’Eglise doit pouvoir être un signe dans le monde, que toutes les frontières doivent être un jour abolies."

Monseigneur, Bonjour,

 

Bonjour Amina".

Merci d’accepter de me recevoir et d’accepter cette interview. Nous sommes donc à l’évêché. Le pape vous a nommé, Mgr Thierry Brac de la Perrière, le samedi 27 aout 2011, alors que vous étiez évêque auxiliaire de Lyon.

 

Oui, c’est ça !"

Donc, vous venez d’ailleurs !

Ah, oui…

je viens d’ailleurs. (sourires)."

Et la Nièvre vous accueille ! (rires) « Et Puis Quoi Encore !» (ndlr: titre de la chanson du générique de l’émission Caravane d'Afrique)

Oui, c’est vrai que je viens d’ailleurs. Ça fait bizarre pour un Français qui est bien enraciné en France de dire qu’il vient d’ailleurs, mais c’est vrai que la France est très diverse et qu’il y a tout un monde entre le diocèse de Lyon qui est un diocèse surtout urbain et puis la Nièvre qui est un diocèse essentiellement rural. Donc, c’est vrai que je viens d’ailleurs, même si on est à trois heures de Lyon. Ce n’est quand même pas grand-chose. C’est quand même une autre culture. Et je découvre cette culture de la Nièvre progressivement. Donc, je viens d’ailleurs. Je viens parce que j’ai été envoyé."

Vous avez accepté !

Ah oui, j’ai accepté volontiers, en pensant d’abord, quand on m’a dit le nom de Nevers, en pensant à Sainte Bernadette, qui est ici à Nevers. J’avais toujours pensé faire une visite à la châsse de Sainte Bernadette (Ndlr: voir notre encadré). Je n’en avais encore jamais eu l’occasion. Je suis allé pas mal à Lourdes et là, du coup, j’ai eu l’occasion de venir et revenir à la châsse de Bernadette. Là, j’ai été envoyé ici, en mission.

Un évêque est quelqu’un qui, comme tout prêtre, du reste, et comme toute mission dans l’église, vient d’un envoi. C’est le pape Benoît XVI à l’époque, qui m’a demandé de venir ici dans la Nièvre. Voilà ! Alors, c’est vrai que pour moi, c’est un gros changement. Je suis d’une culture urbaine. J’ai toujours vécu à Lyon. Je suis né à Lyon et mes parents sont eux-mêmes originaires de Lyon. Donc, je suis vraiment d’une culture locale lyonnaise, avec un enracinement assez ancien, dans le Beaujolais. Donc ce que je connais, c’est surtout la ville. D’autre part mon ministère de prêtre a toujours été en ville, dans plusieurs paroisses de la ville de Lyon.

En arrivant ici, je suis vraiment arrivé comme dans un pays étranger, si on peut dire, ne connaissant rien de la Nièvre, ni des Nivernais et ayant à cœur de découvrir ce pays entre la Loire et le Morvan, et désireux de vraiment connaître les gens de la Nièvre et m’y attacher.

Je suis venu vraiment déjà en aimant la Nièvre et les Nivernais. Parce que ce sont des frères et sœurs que le Seigneur m’a donnés, pour leur annoncer l’évangile."

Vous vous sentez intégré ?

Ah, tout de suite. J’ai été bien accueilli. Dès que je suis arrivé, mon prédécesseur Mgr Francis Deniau a souhaité m’introduire. Donc ça a été facilité par la présence du Père Deniau, qui m’a accompagné dans différents lieux où lui-même allait, pendant le mois de septembre, puisque j’ai été officiellement nommé le 27 août. Dès le mois de septembre j’arrivais dans la Nièvre, en prenant possession de la charge seulement le 23 octobre."

Tout-à-fait, j’étais d’ailleurs à la messe d’installation, qui était un moment magique, aussi bien que la dernière messe du Père Deniau.

Donc le Père Deniau m’a introduit un tout petit peu dans la Nièvre. Mon premier déplacement dans la Nièvre a été pour le pèlerinage de Notre Dame de Faubouloin dans le Morvan. Ça a été vraiment une entrée en matière tout de suite venant à Nevers, j’ai traversé tout le diocèse pour aller dans le Morvan et ça a été assez beau. Et puis, tout de suite, j’ai été amené aussi à célébrer avec le père Deniau les funérailles d’un prêtre, et là ça m’a mis en contact avec le clergé de la Nièvre, rassemblé pour les funérailles de ce prêtre. En plus, j’ai trouvé que les gens tout de suite m’accueillaient de façon chaleureuse."

Merci Monseigneur Thierry Brac de la Perrière. Parlant de célébration, j’ai eu aussi la chance d’animer une messe que vous aviez présidée. C’est lors des concerts Gospel-Témoignages qui ont été lancés dans le Val-de-Loire par le père Roger Kanga, ce qui s’est élargi à la Maison de diocèse de Nevers. D’ailleurs, c’est l’occasion pour moi de vous dire merci d’accepter de s’ouvrir et d’accueillir une étrangère déjà, comme moi, et puis quelque chose qui est peut-être étranger comme moi, qu’on ne voit pas habituellement dans l’église catholique, le Gospel, ou encore cette musique africaine, pour animer une messe, avec une touche un peu plus relevée tout en étant dans le recueillement. On a beaucoup parlé de l’année de la foi et de la nouvelle évangélisation. Vous qui arrivez dans la Nièvre, et la Nièvre vous a totalement accueilli et adopté, est-ce que vous pensez, puisqu’on entend beaucoup parler de réformes par-ci, par-là, est-ce que sur votre ministère dans la Nièvre, pensez-vous qu’on va de plus en plus s’ouvrir à ces types de célébrations encore un peu plus relevées pour, quand même, essayer de garder le maximum de fidèles ?

Je ne sais pas s’il s’agit de s’ouvrir à une forme particulière d’expression de la foi qui est le Gospel, pour relever la foi dans le diocèse. Je pense que ça y participe. Il y a besoin de joie. Il y a besoin aussi d’intégrer différentes cultures, pour que des gens présents dans la Nièvre et qui viennent de ces cultures puissent se sentir chez eux aussi, en exprimant ce qui participe de leurs expressions de la foi. Je pense que le Gospel fait partie de ce qui donne de la joie à nos célébrations, mais je pense que c’est l’ensemble des célébrations, même dans ce que nous connaissons habituellement, qui doit être portée par la joie, la joie de croire, la joie de vivre ensemble l’évangile. Moi, je voudrais que dans nos communautés, il y ait cette joie qui est une aide de lien fraternel. Je pense que les célébrations s’en ressentiront. Le Gospel aide. Ce n’est pas la seule expression de la foi, mais j’aimerais qu’on puisse s’ouvrir de fait, à un certain nombre de formes de louanges, qui ne sont pas forcément habituelles dans nos communautés paroissiales. Voilà, je suis content que vous animiez ces Gospels, parce que je trouve que les gens sont contents de chanter aussi cette culture et de faites, ça dynamise les messes que l’on célèbre."

Je partage tout-à-fait votre avis. D’ailleurs, quand on parle du Gospel, à première vue, on voit tout de suite la joie, mais qu’est-ce qu’il y a derrière cette joie ? Qu’est-ce qui provoque cette joie ? Qui est-ce qui donne cette joie ? Comme le titre même le dit, le Gospel, c’est l’Appel de Dieu, [ndlr : Gospel signifie « Evangile » et son étymologie est liée à la vieille expression anglaise « God Spell » (appel de Dieu)]. Donc, il y a déjà Dieu avant toutes choses. Lui seul donne cette joie que les gens vivent et ressentent à travers ces musiques-là. En tous cas, merci de cette ouverture. Quant à moi, j’espère que Dieu nous donnera tous la force de pouvoir partager ces joies-là avec les uns et les autres. Merci Monseigneur, de m’avoir accueilli.

Merci à vous. Mais, vous êtes bien plus Nivernaise que moi ! (Sourires et rires des deux). Parce que vous êtes ici dans la Nièvre depuis plus longtemps, et il faudrait que chacun, dans l’église, se sente chez lui. Dans l’église, il n’y a pas de frontières, il n’y a pas d’étrangers. Enfin, il ne devrait pas y avoir d’étrangers. Nous sommes tous des citoyens des Cieux. Notre patrie, c’est le Ciel. Notre patrie, c’est le cœur de Dieu. Et si nous célébrons le Christ au milieu de nous, eh bien, il fait que rien ne peut nous faire sentir que nous sommes étrangers les uns aux autres. Nous sommes reliés par le Christ et avec toute la diversité de nos origines. Donc, l’Eglise doit pouvoir être un signe dans le monde, que toutes les frontières doivent être un jour abolies."

Eh bien, nous sommes tous les membres de ce corps, et quand il y a membre du corps, je pense qu’il faut qu’il y ait une harmonie, entre la tête et les bras, entre les bras et les pieds ; tout se marie. On a besoin de tous nos membres pour faire avancer les choses. Donc voilà le signe fort que Monseigneur nous donne à travers cette interview. Nous allons tous essayer. Des fois, ce n’est pas facile, mais nous allons essayer de jouer nos rôles de membres de ce corps qu’est l’Eglise.

 

L’Eglise qui est une fraternité universelle."

Merci,

 

Merci, Amina."

Ecoutez l'émission Caravane d'Afrique du 1er octobre 2013 avec l'interview de Mgr le Père Evêque

L'émission Caravane d'Afrique du 1er octobre 2013 est un passionnant voyage à travers l’Afrique avec des étapes au Nigeria, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, en Guinée avant d’atterrir dans la Nièvre par un entretien avec le Père Evêque du Diocèse de Nevers, Mgr Thierry Brac de la Perrière.

Notes biographiques sur le Père Evêque de Nevers, Mgr Thierry Brac de La Perrière

Ministère presbytéral

Thierry Brac de La Perrière est ordonné prêtre le 19 juin 1988 par le cardinal Albert Decourtray. Incardiné dans le diocèse de Lyon, il est successivement :

  • vicaire au sein de la paroisse Sainte-Bernadette et de l’Immaculée Conception de Caluire, aumônier du lycée Jean-Baptiste-de-La-Salle et aumônier de secteur Guides de France (1988-1994) ;
  • curé des paroisses Notre-Dame-du-Point-du-Jour de Lyon et Sainte-Anne de Ménival (1994-2001), animateur du secteur pastoral, aumônier diocésain du mouvement Foi et Lumière et aumônier diocésain des Guides de France (1995-1999) ;
  • curé de la paroisse de La Sainte-Trinité de Lyon (2001-2003) ;
  • vicaire général du diocèse de Lyon, chargé de l’accompagnement des jeunes prêtres (2001-2002).

Ministère épiscopal

Nommé évêque auxiliaire de Lyon le 15 avril 2003, avec le titre d'évêque titulaire (ou in partibus infidelium) de Zallata, le même jour qu'Hervé Giraud, il est consacré en même temps que lui le 25 mai suivant par Mgr Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, assisté de Mgr François Blondel, évêque de Viviers et de Mgr Jacques Faivre, évêque du Mans. Au moment de sa nomination, Thierry Brac de La Perrière est le plus jeune évêque de France et le reste jusqu'à celle de Pascal Wintzer comme évêque auxiliaire de Poitiers le 2 avril 2007.

Le 27 août 2011 il est nommé évêque de Nevers où il succède à Mgr Francis Deniau. Il est membre du Conseil pour la pastorale des enfants et des jeunes et évêque accompagnateur de la Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) depuis 2012.

Source : Wikipedia

Amtha Kol animera un atelier de Gospel à l’assemblée diocésaine du 8 mai 2014 à Nevers

Amtha Kol animera un atelier de Gospel à l’assemblée diocésaine du 8 mai 2014 à Nevers

A la demande du Père Evêque Thierry Brac de la Perrière, Amtha Kol animera un atelier Gospel dans le cadre des activités ouvertes à tous, inscrites au programme de l’Assemblée diocésaine prévue à Nevers le jeudi 8 mai 2014 de 10h à 18h.

Pour consulter le programme complet de l'Assemblée diocésaine du 8 mai 2014, depuis le site internet du Diocèse de Nevers, cliquer sur l'image ci-dessous.

Amtha Kol animera un atelier Gospel dans le cadre des activités de l’Assemblée diocésaine du 8 mai 2014 à Nevers.
Amtha Kol animera un atelier Gospel dans le cadre des activités de l’Assemblée diocésaine du 8 mai 2014 à Nevers.